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LaBoite à Rire, 66000 Perpignan Un voisin qui vous veut du bien La Boite à Rire, Perpignan - Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle - En ce moment dans cette salle : Jack et le haricot magique Les 3 petits cochons A la recherche de la reine des neiges Fiche événement Critiques 33 critiques avec une note globale de
PourĂ©viter les conflits, il est prĂ©fĂ©rable de trouver un accord avec son voisin. Dans cette situation, la loi nâimpose rien au niveau de la taille de la haie. Vous pouvez partager les frais si vous dĂ©cidez de faire appel Ă un professionnel. Il est possible pour lâun des deux propriĂ©taires de se dĂ©barrasser de la partie de la haie
Unvoisin qui vous veut du bien. 13 mai 2021 Ecrit par laboitearire66. PubliĂ©e: 13 mai 2021 (il y a 1 an) 15.00⏠CatĂ©gorie. Concerts, festivals et spectacles. LocalitĂ©. 66000 Perpignan, France . Adresse complĂšte. 113 route de Torreilles . Date de cet Ă©vĂ©nement. 17.06.2021 . Une comĂ©die de Françoise RoyĂšs. A la BoĂźte Ă Rire 113 route de Torreilles Perpignan. Du 17 au 27 juin Ă
LaCour de Cassation permet en effet un recours contre les entreprises travaillant sur le chantier qui sont alors considĂ©rĂ©es comme « voisins occasionnels ». Ainsi, lâentreprise intervenant sur le chantier voisin est responsable de plein droit dĂšs lors quâelle a exercĂ© une activitĂ© en relation directe avec le trouble anormal causĂ©.
Vay Tiá»n Online Chuyá»n KhoáșŁn Ngay. Un voisin qui vous veut du bien Besançon - Doubs - Sorties Important! EvĂšnement passĂ© Description Un voisin qui vous veut du bien25000 BesançonLe Petit Kursaal, le jeudi 20 fĂ©vrier 2020 Ă 2030La nouvelle comĂ©die de Françoise RoyĂšs NadĂšge et Max viennent de rĂ©aliser le rĂȘve de leur vie ... devenir propriĂ©taire ! Et les ennuis commencent !!!!Au Petit Kursaal , 2 Place Du Théùtre 25000 Besançon C'est donc plein de confiance dans l'avenir qu'ils emmĂ©nagent dans leur petit nid douillet Rue du Paradis ! NadĂšge en est persuadĂ©e c'est un signe, et bien que sa relation avec Max est Ă©tĂ© un peu chaotique ces derniers temps elle est bien dĂ©cidĂ©e Ă reprendre les choses en mains et Ă retrouver la flamme qui va les mener au septiĂšme ciel ! Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si leur "gentil" nouveau voisin EusĂšbe Dutru n'avait pas dĂ©cidĂ© de leur pourrir l'existence ! Entre incruste, mesquinerie et mensonge la vie rue du Paradis n'a vraiment rien d'un long fleuve tranquille ! Situations Ă©piques, rĂ©pliques meurtriĂšres vont mettre vos zygomatiques Ă l'Ă©preuve mais une chose est sure, en sortant du spectacle vous vous demanderez si vous connaissez vraiment votre voisin !Tarif plein 22⏠Tarif rĂ©duit ChĂŽmeur, Rsi , Ă©tudiants 18⏠Horaires * Date du 20 fĂ©vrier 2020 au 20 fĂ©vrier 2020 * Les manifestations pouvant ĂȘtre supprimĂ©es, annulĂ©es, ajournĂ©es, prenez contact avec les organisateurs avant de vous dĂ©placer. Lieu 25000 - Besançon - Le Petit Kursaal Besancon Un voisin qui vous veut du bien HĂŽtels et locations proches. RĂ©servez votre sĂ©jour Besançon maintenant! CONTENUS SPONSORISĂS
InfosDiffusionsCastingRĂ©sumĂ©Lorsque le concierge d'un immeuble tombe du toit en voulant rĂ©parer l'antenne de tĂ©lĂ©vision, tout le monde croit Ă un accident. Pourtant, il s'agit bien d'un meurtre. Et suspects et mobiles sont aussi nombreux que les rĂ©sidents de l'immeuble Ă qui le dĂ©funt menait la vie dure et qu'il avait espionnĂ© durant toutes ces annĂ©es. En fouillant les affaires du concierge, LĂ©o et Nina trouvent un pactole d'un million d'eurosGenreTĂ©lĂ©film - PolicierAnnĂ©e de sortie2006AvecHenning Baum, Elena Uhlig, Rhon Diels, Julian Weigend, Natascha Hockwin, Michael Schreiner, Thomas NennstielInfos supplĂ©mentairesâAvis des internautes 1Vous avez aimĂ© ce programme ?
Cinq ans se sont Ă©coulĂ©s depuis la rĂ©pression sanglante au Myanmar qui a contraint prĂšs d'un million de membres de la communautĂ© minoritaire des Rohingyas Ă chercher refuge au Bangladesh voisin, rejoignant ainsi des dizaines de milliers d'autres personnes qui avaient fui les prĂ©cĂ©dentes vagues de violence. Nicholas Koumjian, Chef du MĂ©canisme international d'enquĂȘte pour le Myanmar, est convaincu que la justice triomphera dans le pays. Nicholas Koumjian dirige ce mĂ©canisme Ă©tabli par le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies pour documenter les crimes commis dans le pays, notamment Ă la suite du coup d'Ătat militaire de fĂ©vrier 2021. Lors d'une rĂ©cente visite au siĂšge de l'ONU, M. Koumjian s'est entretenu avec ONU Info du travail du mĂ©canisme, de son action auprĂšs des citoyens birmans et des dĂ©fis auxquels son personnel est confrontĂ©. Photo ONU / Jean Marc FerrĂ©Nicholas Koumjian, Chef du MĂ©canisme dâenquĂȘte indĂ©pendant de lâONU pour le Myanmar. Nicholas Koumjian La crĂ©ation de notre mĂ©canisme a certainement Ă©tĂ© motivĂ©e en grande partie l'exode de tant de Rohingyas en 2017, mais ce n'Ă©tait pas le seul Ă©vĂ©nement. Ainsi, depuis le coup d'Ătat au Myanmar, nous avons constatĂ© une augmentation de la violence, en particulier de la part du rĂ©gime, et de ceux qui sont alignĂ©s avec le rĂ©gime, contre ceux qui s'opposent au coup d'Ătat. Nous avons Ă©galement vu de nombreux cas de violence de toutes les parties, et nous sommes trĂšs prĂ©occupĂ©s par cela. Mais de plus en plus, nous voyons des villages brĂ»lĂ©s par les militaires, nous voyons des dĂ©tentions massives avec ce qui semble ĂȘtre des procĂ©dures qui ne rĂ©pondent Ă aucune des exigences fondamentales d'une procĂ©dure rĂ©guliĂšre. Nous avons de nombreux rapports faisant Ă©tat de tortures et de dĂ©tentions, de personnes forcĂ©es de quitter leur domicile et de partir de leur maison par crainte de ce conflit. Il s'agit donc d'une campagne massive de crimes qui se poursuit, et nous en recueillons les preuves afin d'espĂ©rer contribuer un jour aux efforts de justice. Unsplash/Pyae Sone HtunDes manifestants contre le coup d'Etat militaire au Myanmar. ONU Info A propos des preuves que vous avez mentionnĂ©es, je pense avoir lu quâenviron deux millions de piĂšces Ă conviction ou plus ont Ă©tĂ© collectĂ©es ? Nicholas Koumjian Le nombre total d'Ă©lĂ©ments de preuve que nous avons recueillis, cela va des dĂ©clarations des gens, des tĂ©moignages, aux photographies, aux vidĂ©os, certaines vidĂ©os prises au moment des Ă©vĂ©nements, au moment oĂč les crimes ont Ă©tĂ© commis, de trĂšs nombreux documents, nous avons des millions de pages. C'est bien plus que deux millions de pages, et cela inclut beaucoup de matĂ©riel tirĂ© des mĂ©dias sociaux qui, selon nous, contient des informations pertinentes. Nous constatons donc une grande variĂ©tĂ© de crimes qui nous prĂ©occupent, depuis l'utilisation d'une force disproportionnĂ©e dans les combats jusqu'Ă l'application d'une force lĂ©tale contre des manifestants sans aucune justification pour cette force. Nous voyons des rapports de crimes en dĂ©tention. Nous sommes trĂšs, trĂšs prĂ©occupĂ©s, en particulier par les rapports faisant Ă©tat de violences sexuelles Ă l'encontre des personnes en dĂ©tention - tant Ă l'Ă©gard des femmes que des hommes. Et nous recherchons les preuves qui permettraient d'Ă©tablir un lien entre les responsables de ces crimes. Parmi les Ă©lĂ©ments que nous examinons, j'ai mentionnĂ© les mĂ©dias sociaux. Nous examinons les cas oĂč il semble y avoir des campagnes d'incitation Ă la violence, Ă la haine contre un groupe ou Ă la peur d'un groupe dans l'espoir d'inciter Ă la violence contre ce groupe. Nous nous intĂ©ressons donc de prĂšs Ă ces questions et nous les analysons, nous les recueillons et nous analysons ces preuves. Il y a donc d'Ă©normes tĂąches qui nous attendent. Bien sĂ»r, la plupart des preuves, presque toutes, sont en birman ou dans d'autres langues du Myanmar. Nous nous appuyons donc sur les ressources dont nous disposons les personnes que nous employons et qui peuvent les lire et parfois nous utilisons Ă©galement des logiciels de traduction modernes. Mais tout cela est trĂšs difficile, et nous essayons d'ĂȘtre trĂšs novateurs dans la façon dont nous abordons la tĂąche de collecte des preuves, sachant que le gouvernement du Myanmar, les autoritĂ©s actuelles du Myanmar, n'ont pas coopĂ©rĂ© avec nous. Ni le gouvernement prĂ©cĂ©dent ni les autoritĂ©s actuelles ne nous ont permis d'entrer dans le pays ou n'ont rĂ©pondu Ă nos demandes d'information. Ce n'est donc pas normal dans une enquĂȘte criminelle. Normalement, vous vous rendez sur la scĂšne du crime ; vous interrogez toutes les personnes impliquĂ©es. Nous ne pouvons pas faire cela. Mais nous sommes formĂ©s pour ĂȘtre trĂšs innovants dans la maniĂšre de collecter les preuves par d'autres moyens. Banque asiatique de dĂ©veloppementLa situation des droits de l'homme au Myanmar s'est aggravĂ©e depuis le coup d'Etat de fĂ©vrier 2021, selon l'ONU. ONU Info Vous disposez de millions de preuves, il semble donc que les gens se soient montrĂ©s coopĂ©ratifs. Mais rencontrez-vous des difficultĂ©s ? Les gens sont-ils d'accord pour partager, ou y a-t-il un appel pour obtenir plus de preuves ? Nicholas Koumjian Eh bien, les seules personnes Ă qui nous parlons sont celles qui veulent nous parler. Tous nos entretiens ou conversations sont volontaires. Nous demandons aux gens de partager des preuves avec nous, nous n'avons pas essayĂ© de contraindre qui que ce soit Ă partager des preuves. Nous n'avons pas cette autoritĂ© lĂ©gale dans aucune juridiction particuliĂšre. Tout se fait donc sur la base du volontariat. Mais ce que nous constatons, c'est que la population du Myanmar souhaite ardemment que justice soit faite et que la vĂ©ritĂ© soit connue. Ainsi, de nombreuses personnes nous communiquent des informations, parfois des documents qu'elles dĂ©tiennent, et elles le font au pĂ©ril de leur vie. Ils comprennent les risques. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour parler avec eux et les traiter de la maniĂšre la plus sĂ»re possible. Et nous avons des informations sur notre site web, sur la façon dont les gens peuvent nous contacter en toute sĂ©curitĂ©. Ce n'est pas une bonne idĂ©e de prendre un tĂ©lĂ©phone ordinaire et de nous appeler ou d'envoyer un courriel ordinaire, car cela pourrait ĂȘtre interceptĂ©. Nous plaçons donc la sĂ©curitĂ© de nos interlocuteurs en tĂȘte de liste de nos prioritĂ©s. Unsplash/Zinko HeinVeillĂ©e Ă Yangon en hommage aux manifestants tuĂ©s au Myanmar. ONU Info Et maintenant, l'espoir est qu'un jour nous verrons la justice, mais le MĂ©canisme lui-mĂȘme ne peut rien faire Nicholas Koumjian Oui, le MĂ©canisme lui-mĂȘme, bien sĂ»r, n'est pas un tribunal. Nous ne sommes mĂȘme pas un bureau de police ou de procureur. Nous ne pouvons arrĂȘter personne, nous ne pouvons inculper personne, et nous n'avons pas de tribunal pour juger qui que ce soit. Mais ce n'est pas notre mandat. Notre mandat consiste Ă recueillir les preuves et Ă les prĂ©server de maniĂšre qu'elles puissent ĂȘtre utilisĂ©es aujourd'hui ou dans de nombreuses annĂ©es ; de prĂ©parer des dossiers que nous pourrons partager avec les autoritĂ©s judiciaires qui sont compĂ©tentes et qui ont la volontĂ© et la capacitĂ© d'engager des poursuites afin que les responsables des crimes commis au Myanmar rendent des comptes. Et nous avons la chance qu'il y ait trois procĂ©dures en cours avec lesquelles nous coopĂ©rons ou partageons des preuves. Tout d'abord, il y a l'enquĂȘte de la Cour pĂ©nale internationale. Elle est axĂ©e sur ce qui est arrivĂ© aux Rohingyas dans l'Ătat de Rakhine. Elle se fonde sur le fait que les centaines de milliers de personnes qui ont fui leur foyer, en particulier en 2017, ont franchi la frontiĂšre, et que le crime de dĂ©portation au-delĂ de la frontiĂšre de l'Ătat de Rakhine a Ă©tĂ© accompli. Elles se trouvaient alors sur le territoire du Bangladesh, qui est un Ătat partie, qui est membre de la Cour pĂ©nale internationale et qui a signĂ© le traitĂ©, de sorte que les juges ont estimĂ© que la Cour Ă©tait compĂ©tente s'agissant de cette infraction et des crimes qui les ont poussĂ©s Ă fuir le Myanmar. L'enquĂȘte de la CPI est donc en cours, et nous coopĂ©rons avec elle et partageons des preuves avec elle. Une procĂ©dure est Ă©galement en cours Ă la Cour internationale de justice. Et ce n'est pas une cour pĂ©nale. Il s'agit, comme vous le savez, de la plus haute juridiction des Nations Unies, qui entend les diffĂ©rends entre Ătats. Et dans le cas de la CIJ, la Gambie, au nom de l'Organisation des pays islamiques, a dĂ©posĂ© une plainte. La Gambie a signĂ© la Convention et affirme que le Myanmar n'a pas respectĂ© la Convention. Il n'a pas rempli ses obligations de prĂ©venir et de punir le gĂ©nocide. Il s'agit donc d'une affaire trĂšs, trĂšs importante - importante pour les victimes, importante, je pense, pour d'autres personnes dans le monde entier. Et nous essayons d'apporter des preuves afin que les juges disposent des meilleures preuves et puissent prendre leur dĂ©cision sur la base des meilleures preuves de ce qui s'est rĂ©ellement passĂ©. Et nous continuons Ă chercher des moyens de partager des preuves qui pourraient ĂȘtre utiles dans ces procĂ©dures. Et enfin, il y a dĂ©jĂ une enquĂȘte nationale. Une plainte a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e en Argentine par des Rohingyas, dont six femmes provenant de camps au Bangladesh, allĂ©guant qu'ils ont Ă©tĂ© victimes de crimes internationaux graves, de crimes contre l'humanitĂ© et de gĂ©nocide. En vertu de la loi argentine, les tribunaux argentins sont tenus d'enquĂȘter sur cette plainte. Si cela s'Ă©lĂšve au niveau des crimes contre l'humanitĂ©, ils ont l'obligation d'enquĂȘter. Donc, ils ont ouvert une enquĂȘte. Et nous sommes restĂ©s en contact avec les autoritĂ©s, nous leur avons fait part de notre volontĂ© de partager les preuves et nous continuons Ă nous prĂ©parer Ă le faire, notamment en essayant d'obtenir la traduction des preuves en espagnol, ce qui est nĂ©cessaire pour les procĂ©dures judiciaires. © UNOCHA/Vincent TremeauLe camp de rĂ©fugiĂ©s de Kutupalong Ă Cox's Bazar, au Bangladesh, est l'un des plus vastes du monde. Il accueille des centaines de milliers de Rohingyas qui ont fui les violences au Myanmar. ONU Info Pensez-vous que les gens ont oubliĂ© la crise des Rohingyas cinq ans aprĂšs ? Nicholas Koumjian Eh bien, bien sĂ»r, je veux dire, c'est naturel. Nous ne blĂąmons personne pour cela. Mais la crise fait la une des journaux quand elle se produit, quand elle arrive pour la premiĂšre fois, quand prĂšs d'un million de personnes fuient le pays. Et tout le monde est trĂšs empathique et prĂ©occupĂ© par la souffrance des gens qui ont dĂ» quitter leur maison et par la violence que beaucoup ont subie dans ce processus. Mais la souffrance ne s'arrĂȘte pas lorsqu'ils quittent leur maison. Ils ne sont toujours pas en mesure de rentrer chez eux. Et maintenant, cinq ans plus tard, vous avez, par exemple, un enfant de neuf ans qui a passĂ© plus de la moitiĂ© de sa vie au Bangladesh. Il se peut qu'il ne se souvienne pas de sa maison. Et bien sĂ»r, pour qu'une communautĂ© se perpĂ©tue, pour qu'elle reste une communautĂ© - les Rohingyas ont leur propre langue, ils ont leurs propres coutumes - ils veulent bien sĂ»r vivre ensemble, et ils veulent vivre ensemble dans des maisons et des foyers permanents dans le pays oĂč ils sont nĂ©s. Alors oui, il est naturel que l'attention du monde se tourne vers toutes les autres crises, les guerres, les pandĂ©mies et le manque de nourriture. Mais il est important de se rappeler que ces souffrances existent toujours, et que nous ne pouvons pas les oublier. Et nous devons tous aux Rohingyas de faire quelque chose pour tenter d'attĂ©nuer cette situation. Cette situation n'est pas viable. Le gouvernement du Bangladesh a Ă©tĂ© trĂšs, trĂšs aimable en offrant un refuge Ă ces personnes. Mais le Bangladesh est un pays pauvre, et ce n'est pas leur foyer. Leurs maisons se trouvent au Myanmar. Nous devons donc crĂ©er les conditions qui leur permettront de rentrer chez eux en toute sĂ©curitĂ© et dans la dignitĂ© et de choisir de retourner chez eux pour reconstruire leur vie dans leur communautĂ© et reconstruire le Myanmar. Le Myanmar a beaucoup de potentiel s'il parvient un jour Ă se dĂ©barrasser de ce cycle de violence et d'impunitĂ©. Unsplash/Saw WunnaUn groupe de personnes dans les rues de Yangon montre son soutien au Myanmar. ONU Info Etes-vous optimiste en ce qui concerne la poursuite de la justice, mais aussi sur la question du rapatriement ? Nicholas Koumjian Eh bien, je dois ĂȘtre quelque peu optimiste pour faire mon travail, car nous faisons ce travail dans l'espoir d'y contribuer. Et je sais que cela semble souvent sans espoir, ou que cela semble trop loin. Mais les rouages de la justice internationale que j'ai vus dans d'autres affaires auxquelles j'ai participĂ©, peuvent tourner lentement, mais ils peuvent ĂȘtre trĂšs, trĂšs efficaces. J'ai travaillĂ© sur le cas de Charles Taylor, qui Ă©tait accusĂ© d'avoir soutenu les rebelles en Sierra Leone. Au moment de l'annonce de l'acte d'accusation, il Ă©tait PrĂ©sident du LibĂ©ria. Puis il s'est rendu au NigĂ©ria oĂč il semblait avoir une retraite trĂšs confortable, comme si personne ne pouvait l'atteindre. Mais il a finalement Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et purge actuellement une peine de 50 ans pour les crimes qu'il a commis. Avant de venir au Myanmar, j'ai travaillĂ© au tribunal des Khmers rouges. Et en 2019, la derniĂšre annĂ©e oĂč j'y Ă©tais, nous avons obtenu un verdict contre l'ancien chef d'Ătat et le numĂ©ro deux du parti pour des crimes qu'ils ont commis entre 1975 et 1979 40 ans plus tĂŽt. Donc, je veux dire, la justice ne devrait pas ĂȘtre aussi lente, la justice devrait ĂȘtre beaucoup plus rapide. Mais concernant la justice internationale, nous avons constatĂ© Ă de nombreuses reprises, que ce qui semblait impossible devient ensuite possible. Personne ne pensait que Slobodan MiloĆĄeviÄ serait arrĂȘtĂ© lorsque l'acte d'accusation est sorti. Il Ă©tait le chef de la Yougoslavie, le chef de l'Ătat, mais finalement il a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© et traduit en justice.
Sortir Ă PERPIGNANdans les PyrĂ©nĂ©es Orientales UN VOISIN QUI VOUS VEUT DU BIEN Une comĂ©die de Françoise RoyĂšs A la BoĂźte Ă Rire 113 route de Torreilles Perpignan Du 17 au 27 juin Ă 21h00 du jeudi au samedi et 16h les dimanches NadĂšge et Max viennent de rĂ©aliser le rĂȘve de leur vie ... devenir propriĂ©taire ! Et les ennuis commencent !!!! C'est donc plein de confiance dans l'avenir qu'ils emmĂ©nagent dans leur petit nid douillet Rue du Paradis ! NadĂšge en est persuadĂ©e c'est un signe, et bien que sa relation avec Max est Ă©tĂ© un peu chaotique ces derniers temps elle est bien dĂ©cidĂ©e Ă reprendre les choses en mains et Ă retrouver la flamme qui va les mener au septiĂšme ciel ! Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si leur "gentil" nouveau voisin EusĂšbe Dutru n'avait pas dĂ©cidĂ© de leur pourrir l'existence ! Entre incruste, mesquinerie et mensonge la vie rue du Paradis n'a vraiment rien d'un long fleuve tranquille ! Situations Ă©piques, rĂ©pliques meurtriĂšres vont mettre vos zygomatiques Ă l'Ă©preuve mais une chose est sure, en sortant du spectacle vous vous demanderez si vous connaissez vraiment votre voisin !
Dans le rapport 2017 sur les perspectives Ă©conomiques en Afrique, le Maroc arrive en tĂȘte des investisseurs africains en Afrique de lâOuest, et le second sur le continent africain au regard du nombre de projets. Au total, le royaume chĂ©rifien a investi 5 milliards de dollars dans 22 projets en 2016. LâAfrique du Sud reste en tĂȘte en matiĂšre de nombre de projets activĂ©s 29. Le classement effectuĂ© dans ce rapport tient en effet compte du nombre de projets et non du montant total dâIDE investissements directs Ă lâĂ©tranger. Ce rapport a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© lors de la 52e assemblĂ©e de la Banque africaine de dĂ©veloppement BAD qui se tenait Ă Ahmedabad Inde du 22 au 26 mai derniers. IntitulĂ© Entrepreneuriat et industrialisation », il encourage les gouvernants africains Ă utiliser en prioritĂ© les entreprises africaines pour dĂ©velopper leur Ă©conomie. Il est le fruit dâune collaboration entre la BAD, le centre de dĂ©veloppement de lâOCDE et le programme des Nations unies pour le dĂ©veloppement. 3 milliards investis en Ethiopie Selon le rapport, cette progression du Maroc tĂ©moigne dâune Ă©volution des performances des entreprises marocaines dans les domaines de la finance, de la tĂ©lĂ©communication, et de lâindustrie manufacturiĂšre. Dans ce classement, le Maroc devance de loin les autres investisseurs africains comme le Kenya, Ă©conomie montante de lâAfrique de lâEst, qui occupe la 3e position avec 14 projets dâune valeur de 100 millions de dollars. Vient ensuite le Nigeria avec 11 projets dâune valeur de 400 millions de dollars. Une part majeure de ces investissements concerne lâEthiopie, oĂč le groupe marocain Office chĂ©rifien des phosphates OCP a signĂ© un accord en novembre 2016 pour lâinvestissement de 3 milliards de dollars pour la construction dâune usine dâengrais. La CĂŽte dâIvoire a bĂ©nĂ©ficiĂ© de 2,7 milliards dâIDE marocains. Les banques marocaines prĂ©sentes dans 20 pays Le rapport souligne aussi la bonne prestation du Maroc en termes de nombre dâemplois gĂ©nĂ©rĂ©s grĂące Ă ces IDE. Ce sont emplois qui ont Ă©tĂ© créés en 2016 par le Maroc contre créés par les projets sud-africains. Au total, le nombre dâemplois créés par les investissements du Royaume reprĂ©sentent 3,1 % du total des emplois gĂ©nĂ©rĂ©s par les IDE sur le continent africain. Depuis dix ans, les institutions financiĂšres marocaines ont renforcĂ© leur prĂ©sence en Afrique subsaharienne. Attijariwafa bank et la Banque populaire ont ainsi contribuĂ© Ă permettre cet accroissement des IDE marocains en Afrique, avec le rachat de Cogebanque et Barclays en Egypte Attijariwafa bank et de la banque de Kigali. En Ethiopie, les banques marocaines possĂšdent deux filiales, Akwa Group et BTP. Dans lâensemble du continent africain, les banques marocaines sont aujourdâhui prĂ©sentes dans plus de 20 pays. Cette augmentation des investissements marocains sâinscrit dans une dĂ©marche globale de Rabat de diversifier son Ă©conomie pour limiter sa dĂ©pendance Ă lâEurope. Dans cet esprit, le Maroc a rejoint en janvier 2017 lâUnion africaine aprĂšs trois dĂ©cennies dâabsence.
un voisin qui vous veut du bien